Oh oui!
Why.not
Twisted Mind & Lovely Smile
Vendredi 5 août 2011 à 15:41
Je m'attends toujours à ce qu'un bonhomme en blouse blanche use de sa baguette magique.
Mais la magie n'existe pas.
Et mon impatience me perdra.
Trois nuits dont deux presque blanches.
Et je suis supposée avoir la force de travailler. Bien entendu.
Cette partie de cerveau détraquée au point que je puisse prendre ce qui rendrait amorphe n'importe qui, sans en ressentir le moindre effet.
Je suis fatiguée. Je n'ai plus envie. J'ai mal à la tête. Rien que de penser à cette rentrée me fout les boules.
"Oh, ne nous fais pas culpabiliser!" dit-elle après une vanne mal placée.
Je ne peux faire payer à personne, je n'en veux qu'à cette force inexistante, faut bien que je fasse culpabiliser d'autres que moi-même de temps en temps.
Aujourd'hui j'ai eu envie de rire, d'avoir trouvé cette blague sympa et de demander: qui prend le relai maintenant? Allez hein! J'ai gâché la seule chose que je savais faire, j'ai donné... Alors? Des volontaires?
Non, bien sûr que non... : )
Mais la magie n'existe pas.
Et mon impatience me perdra.
Trois nuits dont deux presque blanches.
Et je suis supposée avoir la force de travailler. Bien entendu.
Cette partie de cerveau détraquée au point que je puisse prendre ce qui rendrait amorphe n'importe qui, sans en ressentir le moindre effet.
Je suis fatiguée. Je n'ai plus envie. J'ai mal à la tête. Rien que de penser à cette rentrée me fout les boules.
"Oh, ne nous fais pas culpabiliser!" dit-elle après une vanne mal placée.
Je ne peux faire payer à personne, je n'en veux qu'à cette force inexistante, faut bien que je fasse culpabiliser d'autres que moi-même de temps en temps.
Aujourd'hui j'ai eu envie de rire, d'avoir trouvé cette blague sympa et de demander: qui prend le relai maintenant? Allez hein! J'ai gâché la seule chose que je savais faire, j'ai donné... Alors? Des volontaires?
Non, bien sûr que non... : )
Jeudi 9 juin 2011 à 14:45
(...)
Trois - Faudrait que je pense à apprendre la COMMUNICATION VERBALE. Le coup du regard, ça va, je maîtrise.
(...)
Trois - Faudrait que je pense à apprendre la COMMUNICATION VERBALE. Le coup du regard, ça va, je maîtrise.
(...)
Mardi 7 juin 2011 à 20:48
Celle que je ne serai plus jamais.
Réflexions blessantes après une crise d'angoisse et de fatigue.
"Je sais que j'ai une mémoire de fou, tu te rappelles avant?"
Voilà, avant.
Avant j'aurais éclaté tous les scores.
J'aurais été capable de bosser comme une dingue pour arriver à mes fins.
J'aurais obtenu la distinction minimum que je ne verrai jamais.
Aujourd'hui, j'ai toujours cette sale mentalité de perfectionniste au taux de fierté trop élevé et surtout mal placé.
J'ai toujours cette mémoire de dingue qui ne demande qu'à être exploitée.
Mais je n'ai plus les capacités d'y parvenir.
Je sais que je ne serai plus jamais l'élève brillante que j'ai pu être.
Je sais que si j'arrive à finir mes études, ce sera à genoux, avec la note acceptable minimum.
Celle d'avant la maladie me manque. Vraiment.
Et elle me manque encore plus lorsque je me retrouve face à des gens qui en veulent, des gens qui ne se satisferont jamais du nécessaire, des gens qui ont les moyens d'aller plus loin, plus fort, pour ressortir vainqueur.
Ces gens que j'apprécie, avec qui je passe mes journées, ces gens qui me rappellent le cerveau sur pattes que j'étais à une époque.
Il faut passer à autre chose, je sais.
Mais ça fait tellement mal.
Réflexions blessantes après une crise d'angoisse et de fatigue.
"Je sais que j'ai une mémoire de fou, tu te rappelles avant?"
Voilà, avant.
Avant j'aurais éclaté tous les scores.
J'aurais été capable de bosser comme une dingue pour arriver à mes fins.
J'aurais obtenu la distinction minimum que je ne verrai jamais.
Aujourd'hui, j'ai toujours cette sale mentalité de perfectionniste au taux de fierté trop élevé et surtout mal placé.
J'ai toujours cette mémoire de dingue qui ne demande qu'à être exploitée.
Mais je n'ai plus les capacités d'y parvenir.
Je sais que je ne serai plus jamais l'élève brillante que j'ai pu être.
Je sais que si j'arrive à finir mes études, ce sera à genoux, avec la note acceptable minimum.
Celle d'avant la maladie me manque. Vraiment.
Et elle me manque encore plus lorsque je me retrouve face à des gens qui en veulent, des gens qui ne se satisferont jamais du nécessaire, des gens qui ont les moyens d'aller plus loin, plus fort, pour ressortir vainqueur.
Ces gens que j'apprécie, avec qui je passe mes journées, ces gens qui me rappellent le cerveau sur pattes que j'étais à une époque.
Il faut passer à autre chose, je sais.
Mais ça fait tellement mal.
Dimanche 29 mai 2011 à 21:15
Passe musique, dirait-on. C'est la première fois que j'écoute vraiment les paroles de cette chanson. En fait j'ai entendu "Tout le monde veut y croire, au moins avoir une chance...". J'ai pensé à autre chose, à ce qui ne concerne que ma vie & mes ambitions passagères. Et puis j'ai continué à écouter. Attentivement.
Il n'était peut-être pas le plus "in". Peut-être vite catégorisé, vite passé, vite oublié.
Mais pour certaines de ses paroles, il était grand.
Merci Pierrot!
Il n'était peut-être pas le plus "in". Peut-être vite catégorisé, vite passé, vite oublié.
Mais pour certaines de ses paroles, il était grand.
Merci Pierrot!
Tout le monde veut y croire
Le connaître une fois
Tout le monde veut y croire
L'avoir auprès de soi
Quand il est pas là ça rend nos vies moins belles
Les moments "bluesy" ça rend la vie cruelle
Tout le monde veut y croire
Au moins avoir une chance
Tout le monde veut y croire
Confidence pour confidence
On dit que certains le connaissent toute la vie
D'autres l'on croisé rien qu'un soir, une nuit
Mais tout le monde veut y croire
On est capable de beaucoup
Prêt à se pendre à son cou
Pour le garder auprès de nous
Mais on est capable de tout
Quand jamais on ne l'a connu
Quand jamais on ne l'a reçu
Toutle monde veut y croire
De savoir qu'il existe
Tout le monde veut y croire
Ca nous rend déjà moins triste
De se dire qu'il y a quelqu'un quelque part
Ca réchauffe ça paraît dérisoire
Tout le monde veut y croire
On est capable de beaucoup
Prêt à se pendre à son cou
Pour le garder auprès de nous
Mais on est capable de tout
Quand jamais on ne l'a connu
Quand jamais on en a reçu
Tout le monde veut y croire
Au moins avoir une chance
Tout le monde veut y croire
Confidence pour confidence
J'arrive pas à y croire.
[Pierre Rapsat - Tout le monde veut y croire]
Le connaître une fois
Tout le monde veut y croire
L'avoir auprès de soi
Quand il est pas là ça rend nos vies moins belles
Les moments "bluesy" ça rend la vie cruelle
Tout le monde veut y croire
Au moins avoir une chance
Tout le monde veut y croire
Confidence pour confidence
On dit que certains le connaissent toute la vie
D'autres l'on croisé rien qu'un soir, une nuit
Mais tout le monde veut y croire
On est capable de beaucoup
Prêt à se pendre à son cou
Pour le garder auprès de nous
Mais on est capable de tout
Quand jamais on ne l'a connu
Quand jamais on ne l'a reçu
Toutle monde veut y croire
De savoir qu'il existe
Tout le monde veut y croire
Ca nous rend déjà moins triste
De se dire qu'il y a quelqu'un quelque part
Ca réchauffe ça paraît dérisoire
Tout le monde veut y croire
On est capable de beaucoup
Prêt à se pendre à son cou
Pour le garder auprès de nous
Mais on est capable de tout
Quand jamais on ne l'a connu
Quand jamais on en a reçu
Tout le monde veut y croire
Au moins avoir une chance
Tout le monde veut y croire
Confidence pour confidence
J'arrive pas à y croire.
[Pierre Rapsat - Tout le monde veut y croire]